Carte de Sirrah
Bienvenue sur la carte interactive de la ville de Sirrah. Cliquez sur les icônes disséminées sur la carte pour en savoir plus sur la ville et les différents lieux que vous pourrez y trouver.
Entourée par les murailles naturelles créées par les pics des Monts Brumeux, la cité vaporeuse de Sirrah a été élue la capitale d’Onir, même si elle est bien moins fréquentée par les étrangers que la ville d’Enghir. Difficile d’accès et isolée au centre des formations rocheuses de l’île Brufornd, la capitale est traversée par une rivière qui prend sa source dans les sommets et qui a formé un grand bassin en périphérie au nord de la ville. Très portés sur le sens de la communauté, sur les débats et le dialogue en général, la capitale comporte plusieurs grandes places où les citoyens viennent commercer, mais également opposer leur esprit et leurs pouvoirs à ceux de leurs confrères. Le bâtiments les plus importants de la cité prennent une forme pyramidale et se dressent sur les différents pics accessibles grâce à de grands escaliers. La pierre dont ils sont construits prend une teinte dorée qui luit sous les rayons du soleil. Sirrah est un véritable joyau de beauté que les Oniris gardent jalousement pour eux, puisqu’on y retrouve les plus importantes archives du monde connu, mais également les novices dans le maniement des éléments qui représentent le futur d’Ealhmund aux yeux des insulaires. Pour ces raisons, très peu de pèlerins parviennent dans la cité non fortifiée. Comptant un peu moins de cinquante mille habitants, la cité est le fief des gouverneurs d’Onir depuis plusieurs générations. Conséquemment, c’est en son sein que le gouverneur Satrak Asreon passe la majeure partie de son temps.
Entourée par les murailles naturelles créées par les pics des Monts Brumeux, la cité vaporeuse de Sirrah a été élue la capitale d’Onir, même si elle est bien moins fréquentée par les étrangers que la ville d’Enghir. Difficile d’accès et isolée au centre des formations rocheuses de l’île Brufornd, la capitale est traversée par une rivière qui prend sa source dans les sommets et qui a formé un grand bassin en périphérie au nord de la ville. Très portés sur le sens de la communauté, sur les débats et le dialogue en général, la capitale comporte plusieurs grandes places où les citoyens viennent commercer, mais également opposer leur esprit et leurs pouvoirs à ceux de leurs confrères. Le bâtiments les plus importants de la cité prennent une forme pyramidale et se dressent sur les différents pics accessibles grâce à de grands escaliers. La pierre dont ils sont construits prend une teinte dorée qui luit sous les rayons du soleil. Sirrah est un véritable joyau de beauté que les Oniris gardent jalousement pour eux, puisqu’on y retrouve les plus importantes archives du monde connu, mais également les novices dans le maniement des éléments qui représentent le futur d’Ealhmund aux yeux des insulaires. Pour ces raisons, très peu de pèlerins parviennent dans la cité non fortifiée. Comptant un peu moins de cinquante mille habitants, la cité est le fief des gouverneurs d’Onir depuis plusieurs générations. Conséquemment, c’est en son sein que le gouverneur Satrak Asreon passe la majeure partie de son temps.
Les dortoirs élémentaires
Au même niveau que le quartier des résidents et de parts et d’autres de la rivière qui traverse la cité, les Oniris ont érigé des bâtiments à l’architecture très sobre où sont temporairement logés tous les adolescents qui suivent leur formation pour apprendre à manier leur élément à la perfection. Très minutieux et sérieux dans cet aspect de l’éducation des novices élémentaires, tous les futurs maîtres de l’archipel passent plusieurs années en ces lieux. Supervisés par leurs entraîneurs et par des surveillants, les jeunes qui développent leur puissance magique dans les classes du quartier ou dans la campagne environnante doivent tous habiter entre eux dans cette partie de la ville, que leur famille habite Sirrah ou pas, puisque les Oniris croient que la proximité de la famille peut nuire aux apprentissages et à la formation du caractère des petits maîtres.
Le quartier des résidences
Au plus bas de la vallée, autour de la rivière dans laquelle les Oniris s’abreuvent et se baignent, des centaines de maisons ont été bâties par loger les citoyens de la cité. Malgré l’isolation de Sirrah, les habitants de la capitale demeurent des gens chaleureux et ouverts d’esprit. Ils cohabitent paisiblement et aiment se réunir pour participer à des jeux d’adresse et des joutes verbales. D’ailleurs, ils le font dès qu’ils en ont l’occasion, puisque le quartier des résidents est avoisiné par deux grandes places qui deviennent désertes à la fin de la journée.
Le quartier des érudits
Point culminant de la capitale, on compte un nombre incalculable de marches pour atteindre cette partie de la ville occupée par la plus haute et majestueuse de toutes les pyramides. On n’entre pas quand on le veut dans ce quartier considéré sacré par les habitants de Sirrah. Depuis un incident ayant consumé une partie des archives d’un de ses bâtiments, la sécurité s’est d’autant plus resserrée que par le passé. Même si des pièces d’études sont ouvertes au public, seuls les érudits, les scribes, les copistes, les archivistes et les bibliothécaires ont accès aux archives et aux rayons de ses multiples bibliothèques. Les civils doivent quant à eux déposer une requête pour obtenir les ouvrages qu’ils souhaitent consulter et ne peuvent les emmener hors des bâtiments.
Le quartier artisan
Légèrement plus en altitude que les quartiers résidentiels et les dortoirs, cette partie de la ville est l’endroit où les habitants de Sirrah achètent tous les produits dont ils ont besoin pour leur vie de tous les jours ou pour leur bon plaisir. Jalonné de boutiques de toutes sortes, on y retrouve également des marchands ambulants qui s’installent dans les rues les plus larges pour y vendre leurs produits. De la nourriture aux vêtements en passant par les armes, les outils et les livres, on trouve de tout dans ce quartier. C’est également le lieu où logent les rares touristes et pèlerins qui s’aventurent dans la capitale, puisqu’on y trouve quelques auberges, des tavernes et de rares bordels.
Le quartier des alchimistes
Au nord-est de la ville, au même niveau que le quartier artisan, s’étendent les ateliers des alchimistes de Sirrah. Qu’ils soient de simples brasseurs de liqueurs de feu, des chercheurs étudiant les propriétés des métaux ou des érudits fervents de théories diverses, tous ceux qui travaillent pour l’avancée d’Ealhmund dans le domaine technologique, philosophique et scientifique semblent s’être réunis dans cette partie de la capitale d’Onir. Lieux d’expériences diverses, on entend parfois des bruits d’explosions qui proviennent des ateliers d’un ou l’autre de ses habitants. Si bien que la plupart des habitants évitent ce secteur de la ville qu’ils jugent incertains.
Le quartier des curiosités
Prenant racine un peu plus haut que le quartier artisan et le quartier des alchimistes, le quartier des curiosités se situe sur le flanc sud-est du mont principal formé par le quartier des études et est accessibles par des escaliers qui grimpent depuis les dortoirs élémentaires. On y trouve des bâtiments magnifiques qui recèlent des reliques les plus étranges provenant des quatre coins du monde. Entre les musées et les cabinets d’étrangetés, ceux qui aiment s’y aventurer semblent toujours découvrir de nouvelles choses.
