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 May i will find the strength and fortitude to find peace

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Rewyn Odorn

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Rewyn Odorn

ɤ Messages : 4
ɤ Avatar : Charlie Hunnam
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ɤ Allégeance réelle : moi-même


Fiche d'aptitudes
Aptitudes de base:
Aptitudes avancées:

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MessageSujet: May i will find the strength and fortitude to find peace   May i will find the strength and fortitude to find peace EmptyJeu 28 Mar - 0:41



Rewyn Odorn

May i will find the strength and fortitude to find peace

Prénom & Nom ɤ Rewyn Odorn. Surnom ɤ Ses amis proches l’appellent Rey, sa petite sœur le nomme wyn... Âge ɤ 37 ans. Date et lieu de naissance ɤ écrire ici. Quartier de résidence ɤ écrire ici. Occupation ɤ écrire ici. Statut civil ɤ écrire ici. Élément maîtrisé ɤ Air. Niveau de maîtrise ɤ Niveau 4. Allégeance ɤ écrire ici. Traits de caractère ɤ écrire ici (5 qualités et 5 défauts minimum).



Bien que l’on dise que chaque histoire à son héros, ne vous attendez pas à en voir un dans la mienne et n’allez surtout pas imaginer que je puisse en être un. Car ce n’est pas le cas, loin de là. J’ai vécu une vie plutôt banale et au cours de mon existence, je n’ai pas rencontré de Némésis qu’il me fallait vaincre à tout prix. Je n’ai pas non plus été une victime, non en fait, mon histoire est juste celle d’un maître de l’Air tout à fait ordinaire.

ɤ Comme tout bon Oniris qui soit, j’ai été élevé dans un environnement où la Paix et la Tolérance n’étaient pas des mots vains, mais bien notre credo depuis des générations. Des principes sur lesquels chaque Oniris fondait sa conduite et dont les professeurs des écoles en faisaient leur instruction principale. De mon côté, c’est ma mère qui n’avait eu de cesse de nous parler de compassion envers notre prochain, envers les non-mages notamment. Pour ce point, ce n’était pas difficile, dès notre plus jeune âge et bien qu’ils ne soient pas nombreux, on les côtoyait à l’école jusqu’à nos dix ans où notre cursus se séparait en deux voies distinctes. Mais avant cela, presque rien ne nous différenciait et on pouvait donc se lier d’amitié avec un ‘futur non-mage’. C’est pourquoi aucun type de discrimination se faisait dans cette école élémentaire de quartier... Elle nous parlait aussi de ces hommes qui vivaient par-de-là les mers qui n’avaient pas eu la chance de vivre sainement, n’ayant connu que violence toute leur vie. Elle les appelaient les ignorants, parce que s’ils connaissaient tout ce que l’on savait, alors ils ne se dresseraient pas les uns contre les autres. Car c’était là la grande différence entre eux et nous ; lorsqu’un conflit apparaît, notre peuple n’use pas de violence mais choisi d’adopter des méthodes de réflexions, de discussions, afin de résoudre le problème pacifiquement. Du moins, en principe, c’est ce que la grande majorité fait. Oui parce que bon, il ne faut pas oublier que je reste un homme et qu’il m’arrive donc de m’exprimer avec mes poings, lorsque la parole ne sert plus à rien. Et je dois bien avouer que c’est plutôt efficace et aussi revigorant ! Celui qui ne comprend pas que deux hommes puissent se taper dessus avant de finir par s’entendre autour d’un bon verre d’hydromel, ne sait jamais battu ! Après, pas besoin d’en faire toute une histoire, j’évite que ça vienne aux oreilles de ma mère et ça passe. Et puis, je n’étais pas le seul à apprécier ces petits combats de corps à corps, pour se défouler et laisser notre rage exploser… Bien oui, vous n’alliez pas imaginer notre peuple comme des moines prônant la paix par de nombreuses prières, dans une ville idyllique calme et silencieuse avec des visages souriants et discrets. Nous sommes des êtres humains avant tout, mages comme non-mages, dotés de sentiments, de liberté de pensée et d’action. Alors comme tout le monde, il nous arrive de commettre des méfaits, de s’énerver, se disputer, préférant parfois se taper dessus une bonne fois pour toute. Mais en général, quand les choses sont sérieuses, que les enjeux sont importants, c’est la réflexion qui prend le dessus et pour ça, on est plutôt doué !

ɤ Mon père Thuryn est un homme possédant un fort caractère, il est aussi très fier et très aimant et protecteur envers sa famille. Pourtant je n’ai jamais réussi à m’entendre avec lui, peut-être parce qu’il n’était pas démonstratif avec moi. Il travaillait à l’Académie, comme professeur de Maîtrise magique, cela aurait pu faciliter notre entente puisque j’avais hâte d’apprendre la maîtrise de mon don mais ce ne fut pas le cas. Il était très dur avec moi et me traitait différemment puisque j’étais son premier fils. Mais je le respectais, surtout par amour pour ma mère. Acélia, une femme au grand cœur. Elle croyait fermement en son mariage, à sa famille et aux principes de notre peuple. Avec elle, on pouvait débattre des heures durant, elle trouvait toujours de quoi répondre, ses arguments semblant infaillibles et on finissait par se résoudre à accepter notre ‘défaite’. Elle avait ce don à trouver une raison logique pour tout, même l’impossible. C’en était même devenu un jeu pour nous, ses enfants, d’essayer de trouver une discussion pour laquelle elle ne trouverait pas de réponse. En vain bien entendu. Elle s’était mise en tête de consacrer sa vie à éduquer notre esprit et notre âme. Nous, c’est une petite tribu de quatre enfant. Je suis le premier-né, j’ai deux jeunes frères Milas et Lorméus et une petite sœur, Emiliane, la dernière. J’ai 10 ans de différence avec elle, 7 avec Lormé et 4 avec Milas. Et pourtant, c’est d’Emi que je suis le plus proche, peut-être parce qu’elle est une fille et que je ressens le besoin profond de la protéger. Quant à mes frères, je me suis toujours bien entendu avec eux étant enfant, bien qu’en grandissant je voyais qu’ils suivaient les pas de mon père, mettant une certaine distance entre nous, sans le vouloir, c’était juste.. naturel. D’ailleurs, je pense que mes meilleures années étaient celles de mon enfance. Vous savez, lorsque nous sommes encore des êtres purs et innocents, profitant de la vie sans se soucier de rien. Au sein de notre famille, nous étions tous pourvu d’une grande soif de connaissance qui nous poussait toujours à en apprendre davantage, à mener une quête pour répondre à toutes les questions qui circulaient dans notre esprit. Mais cela ne se faisait pas uniquement le nez dans un bouquin, on aimait bien discuter entre nous, apprendre en s’amusant aussi. Notre foyer était sain et ce, malgré la relation complexe que j’entretenais avec mon père. Ça, c’était entre lui et moi ; nous faisions en sorte que cela n’entache pas le reste de la famille. Nous avions grandi entourés d’amour et de compréhension. Chacune de nos ‘peines’ ou de ‘conflit naissant’, se suivait aussitôt de discours, d’explications, de réconciliation avec notre esprit. C’est certainement pour cela que notre éducation n’était entravée d’aucun obstacle. Nous excellions dans tous les domaines.

ɤ Étant l’aîné, j’étais donc le premier a être entré à l’Académie élémentaire, lorsque j’avais dix ans. Avant ça, j’étais scolarisé avec mes frères, entouré d’enfants de mon quartier, on se connaissait tous, on s’entendait également tout aussi bien. Pour ma part, j’avais su très vite que j’étais un maître de l’Air, mes dons s’étant développés assez tôt, mais cela ne m’était pas ‘monté à la tête’ pour autant, je n’avais pas changé mes habitudes ni mes connaissances. Même si chez certain, on prévoyait déjà qu’ils seraient des non-mages, je les voyais de la même façon et ils étaient tout aussi intelligents que je pouvais l’être et c’était ce qui comptait. Mais à l’Académie c’était différent. D’abord, parce que nous étions tous des mages, maîtrisant en majorité le don de l’Air ; mais aussi parce que nous venions de milieux différents, et je pouvais bien percevoir l’esprit de compétition chez certain, voir même une certaine animosité pour ceux dont le visage était toujours fermé et dédaigneux. Cela avait eu pour effet de rendre les choses plus sérieuses pour moi ; et je me disais que, tant pis, si je n’avais pas mes frères avec moi, j’aurai quatre ans pour préparer le terrain avant leur arrivée. Dès lors, l’amusement passa en second plan, d’autant que j’allais être sous surveillance de mon paternel, mais surtout parce que ma priorité était d’en apprendre toujours davantage. Et je dois le dire, avec une certaine envie de prouver à ces enfants de la haute société, que l’intelligence n’était pas héréditaire et qu’ils pouvaient bien être fils de nobles et autres diplomates, que cela ne signifiait pas qu’ils seraient talentueux et que leur argent ou niveau de vie ne les aiderait pas à maîtriser leur don. Je dois dire que je ne m’en suis pas trop mal sorti avec ces élèves hautains Oniris ou autre. J’ai eu un comportement presque irréprochable. Presque, parce que je n’avais pas cédé à la colère comme certain, n’entrant jamais en conflits physiques ; et parce que j’avais cette capacité de les provoquer en toute discrétion dans mes réparties pour les mettre en colère plus encore qu’ils ne l’étaient déjà et ainsi les laisser se mettre en porte-à-faux. C’est vicieux je sais, mais bon enfant. Et puis, on suivait les mêmes cours. Ce n’est pas de ma faute s’ils n’avaient pas su mettre en pratique le cours de ‘contrôle de soi’. Okai, ce n’était pas non plus mon cours préféré mais avec ma mère on y était habitué à chaque fois qu’on était aux prises de sentiments d’irascibilités, on y avait droit. Ce cours, c’est celui où l’on apprend à être capable d’écouter l’autre, puisqu’en proie à la colère, on n’a plus toute notre lucidité et il nous est impossible d’écouter qui que ce soit. Alors on nous montre la voie, nous apprenant à respirer, à reconnaître et accepter notre propre colère où celle de l’autre, à garder notre sang-froid ; et de réussir à la transformer pour aller à la source du réel problème et d’en trouver une solution où les deux parties seront satisfaites. J’ai juste fait en sorte qu’ils ne puissent pas avoir le temps de respirer et se contrôler, enchaînant les répliques et les piques à leur égard. Malgré cela, ce n’était pas si mal, là-bas, j’étais quelqu’un de très social, de ce fait, je me suis très vite fait de nouveaux amis, parfois même venant d’autres contrées. Il faut dire que pas mal de monde venait à la Capitale pour se former.

ɤ Les années s’étaient vite enchaînées, surtout lorsque Milas m’avait rejoint. Mais je m’inquiétais pour ma petite sœur, Emiliane qui n’avait toujours pas pressenti son don. Avant même que nous soyons testé par les professeurs, c’était à la maison, avec notre père, que nous ‘jouions’ à certains ‘jeux’ -pour ne pas dire s’exerçait- pouvant faire apparaître une familiarité avec notre élément, l’Air. En général, c’était avec le jeu du grand arbre que nos dons se révélaient. Le but était de vaincre notre peur tout en montant de branche en branche et de se laisser tomber sur le sol. Alors, bien entendu, mon père n’était pas fou, bien que parfois je me demande, mais il y avait un matelas de plusieurs tissus assemblés les uns sur les autres pour amortir notre chute et il était présent et pouvait à tout moment nous faire léviter si un problème quelconque survenait. Bref. En général, on voyait notre chute ralentir ou s’arrêter un peu avant l’impact, prouvant alors qu’on était mage. Mais Lorméus qui nous avait rejoint à l’Académie à son tour, nous informa qu’à la maison, la tension était palpable lorsque notre père rentrait, puisque la jeune fille approchait ses huit ans et n’avait toujours pas réussi à montrer ce dont elle était capable, tombant toujours d’une traite, lourdement sur le matelas. Ça m’inquiétait, d’autant que j’avais déjà dix-huit ans et que j’allais bientôt quitter l’Académie. Et puis, malgré le message de compassion et d’acceptation que ma mère nous répétait, je savais que pour ma sœur ce serait difficile de voir toute sa famille devenir des mages et qu’elle soit à part. On a toujours rêvé ensemble de ce que l’on ferait une fois la majorité atteinte et à chaque fois, le don faisait parti de nos récits. Et puis, si pour nous la maîtrise de l’élément nous paraissait comme une suite de position d’art martial, un enchaînement de mouvements circulaires et de rotations que l’on s’empressait de vouloir effectuer en combat les uns contre les autres ; pour Emi, c’était différent. Je me rappelle qu’elle voyait notre mère comme une danseuse à chaque fois qu’elle effectuait ses pas, imitant sa gestuelle dans l’espoir d’un jour lui ressembler. Mais sans le don, ces mouvements ne servent à rien, sans le don, ce serait comme gesticuler dans tous les sens sans aucune raison valable. Sans le don, elle serait perdue. La frustration qu’elle ressentirait alors, pourrait la faire basculer dans la colère, dans la folie même !

ɤ Et puis me voilà diplômé à dix-neuf ans, mon entraînement était terminé, j’étais parmi les meilleurs. On me disait maître talentueux et plusieurs portes s’ouvraient à moi. Bien entendu, j’avais déjà ma petite idée. Si dans certains pays, leur célébrité s’apparentait à des hommes politiques ou des combattants hors pairs, chez nous, la célébrité allait celles et ceux qui avaient rendu notre pays fier. Car oui, c’est au sein d’Onir que l’alphabet le plus complet d’Ealhmund fut réalisé, c’est chez nous que les premières écoles furent créées et c’est encore des Oniris qui développèrent l’art de la Cartographie. Et c’est ce dernier point qui m’intéressait, alors c’est tout naturellement que j’avais voulu en faire mon métier et ainsi partir à la découverte du monde. Mon rêve semblait se concrétiser alors qu’un éminent cartographe me proposa de devenir matelot sur son navire. J’avais encore quelques mois devant moi avant de partir. Alors en rentrant à la maison, je me disais que j’allais en profiter pour passer du temps avec Emiliane et surtout préparer ma famille à mon départ. Je savais d’avance que mon choix ne serait pas accepté par mon père, mais qu’importe, il s’agissait de ma vie, pas la sienne. Alors un jour où nous étions seuls, j’avais amené ma petite sœur loin de la maison, loin de nos habitudes, je voulais qu’elle oublie ses entraînements et qu’elle profite d’une journée normale. Nous avions erré quelques temps dans la rue marchande, m’amusant à l’affubler de coiffes burlesques et finissant par lui offrir un petit bracelet auprès d’une tisseuse de bijoux fantaisistes. J’avais remarqué son regard s’arrêter sur ce petit bracelet macramé noir avec trois petites perles alors je lui avais offert. Après quoi, main dans la main, nous continuions notre promenade jusqu’au détour d’une petite ruelle pour se rendre dans un endroit qu’il lui était inconnu. Il nous a fallu traverser quelques broussailles, gravir quelques roches  avant de retrouver le passage qui sillonnait la clairière et d’enfin arriver à l’endroit idyllique que je voulais lui montrer. Il s’agissait d’un écrin naturel à flanc de falaise, d’où une petite cascade avait formée un petit coin d’eau propice à la baignade. Il n’avait rien à envier au grand bassin du centre-ville, bien au contraire, ce point d’eau à l’eau turquoise était plus petit mais surtout plus intime, peu de gens le connaissait où s’y aventurait puisque trop éloigné. Pour ma part, je l’avais connu avec mon meilleur ami, on s’y retrouvait pour effectuer des sauts depuis la falaise qui surplombe l’entrée de ce petit lac ; mais c’était aussi le coin idéal pour amener une fille dans un rendez-vous romantique. Alors attention, okai il m’est arrivé de conclure avec de jolies demoiselles lors de mes sorties de l’Académie mais ce n’est pas pour cela que j’amène ma petite sœur aujourd’hui. Ne l’oubliez pas, elle n’a que neuf ans ! Et c’est ma sœur ! Ne vous faites pas de mauvaises idées. Je veux juste qu’elle découvre ce sublime endroit pour s’amuser et oublier ses tracas quant à la non-apparition de son don. A son regard émerveillé j’ai tout de suite su que c’était une bonne idée, d’autant qu’elle commençait déjà à poser ses affaires, prête à faire le grand saut ! Je ne perdis pas un instant pour la rejoindre et sauter dans l’eau avec elle.

Après plusieurs instants à s’amuser à s’éclabousser, faire la planche et profiter de cette baignade, je me disais qu’il était temps de sortir de l’eau, histoire que je profite du moment de notre séchage pour avoir une discussion avec elle. Et hors de question d’ailleurs, d’utiliser mes dons pour évaporer l’eau sur nous, cela irait à l’encontre de la conversation que je veux avoir avec elle. Mais d’abord, la petite Emi voulait faire un dernier saut avant de quitter ce merveilleux endroit. Je lui accorde et nous voilà à courir sur la falaise, hurlant en sautant pour disparaître dans un énorme plouf sous l’eau. En remontant à la surface, je regardais autour de moi, un large sourire aux lèvres, guettant la remontée de ma sœur, imaginant déjà qu’elle s’apprête à me jouer un tour. Mais rien. Elle ne réapparaît toujours pas. Inquiet, je replonge et tente de la retrouver sous l’eau. Rien non plus. Reprenant mon souffle, je guette encore autour de moi essayant tant bien que mal d’un geste de la main à faire une sorte de bulle d’air pour me permettre de respirer plus longuement sous l’eau, mais impossible, j’en suis incapable, peut-être parce que trop inquiet. Alors tant pis, je replonge, tentant d’aller plus en profondeur, jusqu’à ce qu’enfin je perçoive une silhouette remonter. En allant à sa rencontre, je la tire et une fois la tête hors de l’eau, je lui demande si elle va bien tout en reprenant mon souffle. La demoiselle ne semble pas inquiète et n’est d’ailleurs pas essoufflée, m’informant qu’elle voulait juste rattraper le bracelet que je venais de lui offrir et qui était tombé dans les profondeurs. Secouant la tête pour son imprudence je nous sors hors de cette piscine naturelle et une fois sur la terre ferme, je reprend mon souffle calmement, reprenant la parole en essayant de ne pas être trop agressif avec elle. Au fil de notre discussion, entre ses explications et mes tentatives de lui faire prendre conscience du danger, je réalise qu’elle nageait comme un vrai poisson dans l’eau. Non non.. il n’y a jamais eu de maître de l’Eau au sein de notre famille, mais tout de même, il fallait que j’en sois certain et lui demande de faire une tentative supplémentaire. Elle dans l’eau, moi allongé au rebord, sa main dans la mienne, je pose mon autre main sur sa tête pour l’aider à rester sous l’eau et lui fais répéter qu’il suffit qu’elle resserre fort ses doigts dans les miens pour que je la lâche et qu’elle remonte. On se lance. Le temps défile. Elle ne bouge toujours pas. L’eau limpide me permet de voir son visage, elle semble me regarder et sourire sans aucune difficulté. Je commence à avoir mal au bras et finit par interrompre l’exercice. Elle n’est pas du tout essoufflée … elle a le don de l’Eau !

Je voulais la féliciter, lui dire de ne pas s’inquiéter aussi de mon prochain départ, j’en avais profité pour lui en faire part, c’était le bon moment. Alors pour fêter l'évènement, je l’avais invitée à boire un sirop à l’auberge de la ville, c’était un endroit assez bondé, très vivant. Bien qu’il ne soit pas familial, y amener des jeunes pour fêter leur don ou entrée à l’Académie était chose commune, surtout lors de l’Élémentade. C’était un moyen de fêter un renouveau, un passage de l’enfance qu’il fallait marquer ! En entrant, j’en profitais pour saluer quelques connaissances, tapant des épaules, serrant des mains, recevant des félicitations pour la fin de mon entraînement à l’Académie. Je nous installa ensuite au comptoir, l’aidant à monter sur le haut tabouret en bois et échangea quelques banalités avec la serveuse Tylla, qui venait me tourner autour, lui rappelant notamment que j’étais en présence de ma petite sœur, ce qui calma ses ardeurs. Dommage. Mais ce n’était pas le moment. En lui parlant de la découverte de son don, elle voulait même lui offrir son premier verre, ce qui ravit Emi qui se tenait droite, certainement fière d’elle. Après quelques instants à boire et rire de tout et de rien, je remarqua une silhouette familière un peu plus loin, Leeroy, mon meilleur pote. J’incite Emi à aller le rejoindre mais elle ne veut pas quitter son siège, sa discussion avec la barmaid sur des histoires de maître de l’Eau l’intéressant. J’hésite un instant et finit par la laisser seule, lui montrant où j’allais me diriger et m’empressais de rejoindre mon ami, non sans jeter un coup d’oeil vers le bar de temps en temps. Et puis après avoir discuter et fêter mon prochain départ avec lui, autour d’un grand verre de Rhum, je repose les yeux vers ma sœur et me fige. Mon cœur sembla bondir hors de ma poitrine. Tout sembla être au ralenti. La vision qui s’offrait à moi me chamboula en tout point. Un homme, d’une quarantaine d’années, tenait fermement le poignet d’Emi, son autre main sur sa cuisse. Son visage était rapproché d’elle et semblait lui parler, la menacer peut-être. Lorsque je repris le contrôle de mon corps, je me dirigea aussitôt vers eux. Mais là encore, la scène sembla agir au ralenti alors que je le voyais la relever de force, l’agrippant par l’épaule pour la forcer à avancer avec toujours une main baladeuse qui remontait sur son dos. C’est alors que Tylla s’interposa, attrapant ma sœur vers elle. Le sang bouillonnait dans mon esprit. Elle n’avait que neuf ans bon sang !

J’étais hors de moi et je n’avais aucunement l’envie de respirer, de réfléchir et d’apaiser mon esprit. Non, au contraire, je voulais pour une fois, laisser ma rage s’exprimer. Je voulais le faire souffrir. Rien que d’imaginer ce qu’il aurait pu lui faire me mettais hors de moi. Arrivant à sa hauteur, le type recula de quelques pas, parlant d’une méprise. De mon côté, j’avais embrassé ma sœur sur le front puis l’avais confié à mon ami, un simple regard suffit à ce qu’il comprenne ce que j’entreprenais et il s’empressa donc de la saisir par les épaules pour l’amener de force dans une salle adjacente, accompagné par Tylla, afin qu’elle n’assiste pas à la scène. Et puis, sans écouter les gens autour de moi qui tentaient de calmer les choses, me disant de laisser l’autorité s’en charger, qu’ils allaient certainement prouver qu’il s’agissait vraiment d’une erreur, je fonçais droit vers ce sale type, l’agrippant au col pour le faire sortir dans la rue, lui assénant aussitôt mon coup de poing dans la figure, accompagné de salves d’air compressé de faibles quantités puisque non-voulues, accentuant la force du coup. Son visage me répugnait alors je voulais le détruire, cherchant juste à enfoncer mon poing dans sa face. Et puis une fois qu’il était à terre, je me préparais cette fois au vrai combat. Ne lui laissant pas le temps de se relever, j’enchaînais déjà quelques mouvements, la paume ouverte tournée vers lui puis fermée et rapidement ramenée à moi. Cette technique avait eu pour effet d’aspirer l’air autour de lui, de l’inverser et ainsi l’attirer à moi comme si j’usais de télékinésie. Lorsque son corps se propulsa vers moi, j’en remis une couche avec un nouveau coup de poing en pleine face. Je voulais le faire saigner davantage. Toutefois, on ne m’en laissa pas le temps. Alors que j’entrepris de le fouetter, histoire de briser ses doigts qui avaient osé toucher ma sœur, ses compagnons me prirent par surprise me projetant contre le mur de l’auberge. Leur force unit était telle que je l’avais complètement démoli, passant au travers et atterrissant sur une table qui tomba dans un fracas lourd. Quelque peu sonné, je n’avais toutefois pas envie d’en arrêter là. L’image de sa main sur la cuisse de ma sœur n’avait pas quitté mes yeux et me poussait à me relever. Me propulsant alors rapidement en avant pour me retrouver à l’air libre et face à ces adversaires qui pensaient en avoir fini avec moi, j’avais entrepris de contre-attaquer dans toutes les directions pour les désorienter, envoyant d’abord des salves d’airs de gauche à droite, par coup de poing et coup de pied, avant de les déstabiliser en envoyant les barres de fers de l’étalage du marchant d’à côté. Si certains avaient évités les premiers lancés, l’un d’entre eux avait balayé la barre d’un geste de la main, le projectile déviant alors de sa trajectoire jusqu’à revenir vers moi, s’enfonçant dans ma cuisse. La partie était finie. Mon cri de douleur amena la foule à s’apaiser en un sens, puisque j’avais ‘baissé les armes’. Foncièrement pacifistes, il était rare de voir des maîtres de l’air Oniris se servir de leur pouvoir pour attaquer les autres, c’est pourquoi j’avais surpris l’assemblée à agir de la sorte et ils mirent un moment avant de venir à mes côtés pour me porter secours. Par chance, une guérisseuse était là et entreprit les premiers soins. Mon meilleur ami était sorti prendre de mes nouvelles. Agenouillé à mes cotés, il serra ma main dans la sienne alors que la soigneuse retirait la barre de ma cuisse. Serrant les dents je porta mon regard dans le sien et lui demanda ensuite de raccompagner ma sœur auprès de ma mère. Sa main se posa contre ma nuque, attirant ma tête à lui, front contre front, pour se saluer et acquiescer sans un mot. Lorsqu’il s’éloigna je fermais les yeux, tentant de trouver la force de me calmer, me concentrant sur ma respiration. Les soins prodigués par la jeune femme étaient efficace, je ne sentais déjà plus la douleur. Elle avait alors voulu me léviter jusqu’à son échoppe pour me soigner plus convenablement, mais je m’étais relevé, préférant marcher, quitte à traîner ma patte, j’étais pris d’une certaine fierté et d’une montée d’adrénaline aussi, provoquée par le combat. L’autre enfoiré avait le visage déformé et cette vision m’apaisa, d’autant qu’il n’était pas traité comme une victime, les habitués de l’auberge et quelques serveuses en profitant pour le traiter de scélérat, attirant l’attention des patrouilleurs qui étaient arrivé sur les lieux. J’avais donc suivi la guérisseuse sans broncher, en prenant tout de même appui sur son épaule.

Ma vengeance était parvenue aux oreilles de ma mère qui, lorsque j’étais rentré, ne savait plus comment réagir. Entre l’air affligé sur son visage quand elle porta son regard sur moi, secouant la tête comme elle le faisait à chaque fois qu’elle s’apprêtait à nous sermonner lorsque nous faisions des bêtises ; et l’air triste et inquiet quand ses yeux se posèrent sur Emiliane qui avait sauté dans mes bras. Puis, sans un mot, ce qui n’était pas commun venant d’elle il faut le souligner, elle s’était jointe au câlin, m’enlaçant fortement dans ses bras, écrasant la petite Emi en passant et manquant de me faire perdre l’équilibre. Moi qui avait angoissé tout le chemin du retour, appréhendant sa réaction, demandant même à Leeroy que j’avais croisé à l’entrée, de rester à mes côtés pour l’affronter, voilà que je me retrouvai à mon tour, à ne pouvoir sortir aucun mot de ma bouche, l’émotion prenant le dessus. Après les explications plus sérieuses, elle ne m’avait pas sermonné cette fois-ci, sur l’usage offensive de la magie dont j’avais fait part, semblant dire sans vraiment le dire, que la situation était différente et qu’il l’aurait mérité. Cela m’avait suffit et elle alla m’aime jusqu’à m’épauler lors de mon entretien avec la justice de la Guilde des Gardiens, le lendemain. Son soutien et surtout, son don d’élocution et d’argumentation avait pesé sur la balance pour qu’aucune charge ne soit retenue contre moi ; mon exemplarité au sein de l’Académie avait également joué en ma faveur. Quelques jours après, mon père était rentré de l’Académie, avec mes frères ; et ma mère s’était empressée de lui parler de cette fameuse journée où j’ai semé la pagaille en ville. Ses termes, pas les miens. Il avait ouïe dire de cette information et, étrangement, bien que je redoutai qu’il ne me fusille du regard avant de m'accabler de paroles acerbes dès qu’il en aurait l’occasion, il n’en fit rien. Au contraire, il m’informa que cela n’avait guère entachée ma réputation à l’Académie, que je restai l’un des meilleurs diplômés de ses dix dernières années et que c’était ce que les gens retiendront. Sur le coup, j’avais froncé les sourcils croyant mal entendre, zyeuttant autour de moi pour savoir si ma mère n’était pas dans les parages pour le forcer à tenir un discours pareil, mais non, personne, nous étions seuls. Il sembla d’ailleurs même outré que je ne cache pas cette surprise et soupira fortement avant de me demander quelle était la bonne nouvelle de cette journée. Ma mère n’avait en effet évoqué qu’une partie de l’histoire, parlant de la bataille et de la raison pour laquelle je l’avais provoquée, mais rien concernant ma sœur et son don. Elle voulait que je sois celui qui lui apprendrait la nouvelle, afin de rééquilibrer les choses. A croire qu’elle se doutait qu’entre lui et moi, ce n’était pas rose. Bref, je lui informa qu’elle était une maître de l’Eau, et comme il n’arrivait pas à le croire, je lui détaillai l’expérience que j’avais mené afin de la tester comme il se doit. Mais cela ne semblait pas non plus le convaincre. Il hurla le nom de ma sœur et de ma mère pour qu’elles nous rejoignent, espérant éclaircir les choses. Pour lui, ce n’était tout bonnement pas possible. Jamais encore, dans notre famille, il n’y avait eu un autre don que celui de l’Air. Jamais. Jusqu’à aujourd’hui pensais-je et fini-je par répondre histoire d’interrompre son énumération à n’en plus finir de notre ascendance. Ma mère tenta de lui expliquer qu’il puisse être possible qu’une ‘faille’ ait pu exister au sein de sa propre famille, puisqu’à l’époque, ils étaient de grands voyageurs du côté de sa mère et qu’un amour d’une autre contrée soit a envisager. Bien qu’il ne sembla pas convaincu, mon père finit par se lever, clôturant ainsi le débat, avant d’exiger un nouveau test à ma sœur. Et peu importe ce qu’il tentait, le résultat était le même, il y avait en effet une forte attraction avec l’élément Eau et il ne pouvait le nier.

Deux jours après, il était toujours en train de débattre sur le fait que cela ne soit pas possible, suggérant sans vraiment le dire, qu’il se pourrait qu’il n’en soit pas le père, puisque dans ses gênes c’était le don de l’Air ou rien. Cette déclaration m’avait mis hors de moi. Ainsi supposer que quoi, ma mère l’aurait trompé ?! Ça avait choqué Emi qui était restée dans sa chambre depuis mais apparemment pas ma mère qui au contraire, lui certifiait que bien qu’il pouvait rester des mois à l’Académie, elle n’en resterai pas moins aimante et fidèle à son époux. Ça m’agaçait de la voir si calme, mais en un sens, je tâchai de prendre exemple sur elle, pour ne pas laisser mes sentiments vers mon paternel prendre le dessus et me laisser envahir par des sentiments contraire à nos principes. Encore une fois. Du coup, je me disais qu’il était temps d’annoncer l’autre nouvelle. Celle qui pouvait détourner l’attention de tout le monde de ma sœur. Celle qu’il m’était impossible de formuler depuis quelques jours. L’annonce de mon départ. Je travaillerai auprès du Cartographe et d’ici quelques jours j’embarquerai sur son navire et commencerai l’exploration. Booom. La bombe était lancée, le cœur de mon père sembla exploser. Il ne m’adressa pas la parole de toute la soirée. C’est dire à quel point il avait été choqué de l’apprendre. Au contraire avec ma mère et mes frères j’avais pu en parler plus ouvertement, les deux monstres se chamaillaient déjà la répartition de mes affaires les bougres. Bref, j’étais soulagé d’un poids. Dès le lendemain, ma relation avec mon père devint des plus glaciales, il n’avait pas accepté que son premier fils ne suive pas ses pas et que ce travail m’oblige à quitter la famille pour voyager et non prendre un poste à l’Académie comme lui et son père avant lui. J’avais beau lui expliquer mon envie d’en apprendre davantage sur les autres, en voyant le reste du monde de mes propres yeux, c’était peine perdue, mon paternel était buté et ne m’écoutait pas, peu importe mes arguments. Dès lors que j’avais certifié de vive voix ne pas vouloir devenir un professeur, plus rien ne comptait. Mais qu’importe. J’avais pris ma décision. Et puis, je notai tout de même le point positif de cette histoire : il avait dirigé toute son attention et accessoirement, son irritation -très perceptible à mes yeux-, vers moi et de ce fait, ne semblait plus être accablé par la révélation du don d’Emiliane. Tant mieux.
/// UC ///




Que pensez-vous des conditions des non-maîtres au sein de la société ? Croyez-vous qu'il y ait un fondement à leurs demandes ?
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Selon vous, qui a le plus de légitimité pour diriger la ville et les habitants d'Ealdor; le Conseil ou l'Ancien ?
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Où étiez-vous lors de l'attentat contre l'Ancien ? Comment avez-vous réagi en apprenant ou en voyant ce qui s'était passé ?
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À votre avis, qui est derrière la tentative d'assassinat orchestrée contre l'Ancien ?
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Aptitudes de base

Force ɤ ●○○○○
Agilité ɤ ●○○○○
Résistance ɤ ●○○○○
Endurance ɤ ●○○○○
Intelligence ɤ ●○○○○
Volonté ɤ ●○○○○

Point reçus ɤ xx points.



Aptitude avancée

Nom de l'aptitude ɤ ●○○○○
Justification ɤ écrire ici.

Points reçus ɤ x points.




Derrière l'écran

Pseudo ou prénom ɤ SeeMe.
Âge ɤ Majeure et vaccinée  May i will find the strength and fortitude to find peace 3796441487
Pays d'origine ɤ France.
Avatar & crédit ɤ Charlie Hunnam. © UC
Groupe choisi ɤ écrire ici.
Groupe(s) invisible(s) ɤ [ ] Conseil d'Ealdor [ ] Avitus Hereditas [ ] Confrérie de Roshan [ ] Lame de Roshan [ ] Autre :
Multicompte(s) ɤ Pas encore ^.^
Mon personnage est... un poste vacant (ici)
Comment as-tu connu le forum ? C'est @maë sørtiann la coupable !
Mot de la fin ɤ écrire ici.



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Dernière édition par Rewyn Odorn le Dim 7 Avr - 22:25, édité 6 fois
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Maë Sørtiann

maître de l'air


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MessageSujet: Re: May i will find the strength and fortitude to find peace   May i will find the strength and fortitude to find peace EmptyJeu 28 Mar - 0:58

Tu as craqué, tu as craqué, tu as craqué EH OUAIIIIS ! May i will find the strength and fortitude to find peace 3366017708 May i will find the strength and fortitude to find peace 133816533 May i will find the strength and fortitude to find peace 2989947582
Super contente de te voir par ici et j'ai hâte de lire ce que tu vas faire de ce petit monsieur May i will find the strength and fortitude to find peace 2385869105

A très vite au détour d'un RP (enfin!) May i will find the strength and fortitude to find peace 341052325
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Arne Isjoen

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MessageSujet: Re: May i will find the strength and fortitude to find peace   May i will find the strength and fortitude to find peace EmptyJeu 28 Mar - 1:39

ON A UN REWYN May i will find the strength and fortitude to find peace 3238908408 May i will find the strength and fortitude to find peace 3238908408
Bienvenue sur le forum ! N’hésite pas à me faire signe si tu as des questions, ça me fera plaisir de te venir en aide May i will find the strength and fortitude to find peace 1620251141
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Freya Eledhwen

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MessageSujet: Re: May i will find the strength and fortitude to find peace   May i will find the strength and fortitude to find peace EmptyJeu 28 Mar - 8:24

Bienvenue sur SoD ! May i will find the strength and fortitude to find peace 2739140560
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MessageSujet: Re: May i will find the strength and fortitude to find peace   May i will find the strength and fortitude to find peace EmptyJeu 28 Mar - 10:24

Maë May i will find the strength and fortitude to find peace 1620251141  Oui j'ai craqué, il faut dire que ce forum est magnifiquement réalisé, merci encore à toi de m'en avoir parlé !! Et j'espère oui, que notre heure aura sonnée... je veux RP avec toi May i will find the strength and fortitude to find peace 2300475608

Arne, merci beaucoup !! C'est avec plaisir que je viendrais t'embêter alors, et même si pour l'instant, l'histoire se met en place dans ma tête, j'ai quand même des petits détails dont il me faudrait un éclaircissement, qui surgissent ici et là. Je prendrais le temps de venir t'en parler alors ^.^

Salut Freya, merci pour l'accueil May i will find the strength and fortitude to find peace 1377312698  je pense que je vais me plaire ici !
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Lachlan Thralmur

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MessageSujet: Re: May i will find the strength and fortitude to find peace   May i will find the strength and fortitude to find peace EmptyJeu 28 Mar - 10:47

Bienvenue parmi nous May i will find the strength and fortitude to find peace 1442194362 je suis ravie de voir que ce PV est tenté May i will find the strength and fortitude to find peace 2739140560
N'hésite pas si tu as des questions et bon courage pour ta fiche May i will find the strength and fortitude to find peace 1620251141
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MessageSujet: Re: May i will find the strength and fortitude to find peace   May i will find the strength and fortitude to find peace EmptyMer 3 Avr - 21:47

Merci bien Lachlan May i will find the strength and fortitude to find peace 2028792963

Je viens de poster le début de mon histoire, maiiiiis je suis encore d'avoir fini. Je vais tenter d'aller à l'essentiel et de faire court pour la suite, sinon je ne vais jamais pouvoir jouer avec vous alors que j'ai trop hâte May i will find the strength and fortitude to find peace 417272688
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MessageSujet: Re: May i will find the strength and fortitude to find peace   May i will find the strength and fortitude to find peace EmptyJeu 18 Avr - 9:33

Coucou @Rewyn Odorn May i will find the strength and fortitude to find peace 1377312698

Ton délai est fini depuis un moment, est-ce que tu as pu finir ta fiche ? As-tu besoin d'un délai supplémentaire d'une semaine ? May i will find the strength and fortitude to find peace 1897575348

Sans nouvelle de toi d'ici 48h nous serons obligées de te supprimer May i will find the strength and fortitude to find peace 1515969434
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MessageSujet: Re: May i will find the strength and fortitude to find peace   May i will find the strength and fortitude to find peace EmptySam 20 Avr - 11:00

Délai vu par MP May i will find the strength and fortitude to find peace 2739140560
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