AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Fermeture définitive
Après mûre réflexion, nous fermons officiellement Sound of Drums.
Pour connaître les raisons, c'est par ici...
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Partagez
 

 Choebe ♦ sans ambiguïtés

Aller en bas 
Invité

Invité


Anonymous



Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptyJeu 27 Sep - 23:07




Choebe Aersent
« Si tu as cru, destin, que je pouvais partir, il fallait me donner des ailes. » Pierre Reverdy
derrière l'écran

Pseudo : Solomon Suaire
Âge : 19 ans
Pays : France
Multicompte(s) : Pas encore  Choebe ♦ sans ambiguïtés 1897575348
Avatar & Crédit : Thomas Brodie-Sangster (c)KANE
Mon personnage est... un poste vacant  Choebe ♦ sans ambiguïtés 1377312698
Comment as-tu connu le forum ? En scrollant sur le top-site Obsession27 Choebe ♦ sans ambiguïtés 2300475608
Mot de la fin : J'ai tellement hâte de vous rejoindre  Choebe ♦ sans ambiguïtés 417272688
Nom complet : Choebe Aersent Âge : 25 ans Date et lieu de naissance : né à Tirith, sur l'île de Kethil à Skogur, pendant la saison des récoltes de l'an 82. Lieu de vie : Anriel, pour le moment Occupation : Voleur et apprenti luthier Statut civil : Célibataire Orientation sexuelle : Bisexuel Élément & niveau : Aucun, alter

Traits de caractère : Calme, ton détachement et tes silences font de toi un être que l’on remarque peu. Si tes airs placides tutoient parfois l’indifférence, c’est pour mieux laisser glisser les rares regards qui se posent sur toi, et continuer d’évoluer secrètement dans les masses. ▲ Mais si les villes sont ton environnement naturel, serpentant dans les rues comme si elles n’étaient qu’un prolongement de toi, tu n’en demeures pas moins un profond solitaire, qui se délecte des moments de quiétude qu’une foule indifférente est en mesure, dans toute l’étendue de ce paradoxe, de t’apporter. Fils unique, tu as appris à grandir seul et à trouver dans ta seule compagnie toute la sérénité nécessaire. ▲ Attentif, vif d’esprit et curieux, les détails des êtres et des choses happent tous tes regards. Bien que tu peines à interpréter certains gestes ou certains sourires ductiles, l’éclat d’une bourse ou le reflet d’une dague ne t’échappent jamais. ▲ Pessimiste dans l’âme et dans ta condition de non-maître, tu verras toujours le mal dans le regard d’autrui, la propension à te nuire, les attitudes ambiguës, avant d’y trouver le bien. Ce pessimisme viscéral est probablement la seule chose qui te retient encore de rejoindre le rang des égalitaristes extrémistes, ne parvenant pas à éprouver une once d’espoir dans leur combat. ▲ Ton intuition aiguë est ta plus grande intelligence pour évoluer dans ce monde qui est tien, et où tout te semble hostile. Tu préfèreras toujours te reporter à ton instinct, et celui-ci te fera rarement défaut. ▲ Ton absence de don a bouleversé ta façon de concevoir le monde, et de te concevoir toi. Dépourvu de confiance en toi, tu es constamment en proie au doute, tu n’as de cesse de te déconsidérer, comme si ta propre amertume pouvait justifier l’injustifiable. Il résulte de cette faiblesse une volonté extrêmement fragile, toujours sur le point de rompre. ▲ Vif, ton agilité et ta rapidité sont vraisemblablement les deux clés de ta survie à Anriel, et dans les rares autres cités qu’il t’a été donné de traverser. Constamment sur le qui-vive, tu repousses l’inactivité comme un miasme et tu n’as de cesse d’explorer les rues dans leurs moindres détails, de planifier tes rapines et de déambuler au hasard des foules, laissant machinalement traîner tes oreilles attentives. ▲ Les doutes dans lesquels tu t’empêtres et l’instabilité de tes humeurs font de toi quelqu’un de terriblement changeant, et si de rares convictions s’attardent en toi – à commencer par ton pessimisme chevronné – il n’est pas rare que tu reviennes sur des choix déjà faits, des volontés énoncées ou des discours tenus. ▲ Dans les rues de ce monde peuplé de maîtres, tu as appris à te faire invisible. Discret, tu sais te glisser dans les masses sans être vu, n’être présent qu’à demi, esquiver les regards qui se poseraient trop longuement sur toi. Tu détestes être le centre de l’attention. ▲ Tes angoisses et ton caractère changeant font de toi un individu bien peu fiable, n’hésitant pas à trahir pour te protéger. Face aux autres, un sentiment de vulnérabilité menace toujours de t’étreindre et de te conduire aux plus abjectes abandons, dès lors qu’autrui devient un danger. ▲ Malgré tout, pour qui parvient à t’apprivoiser et à gagner ta confiance, tu te révèles dans toute la douceur de tes gestes, de tes paroles. Ton long apprentissage de luthier t’a doté de cette délicatesse du corps et des mouvements, une légèreté secrète qui est un socle solide pour tes rares amitiés. ▲ Taciturne, tu es un être avare de paroles, qui déteste parler pour ne rien dire. Tes silences sont parfois interprétés comme de l’indifférence, voire un désintéressement certain, tandis qu’ils ne sont souvent que le surgissement de ton besoin de solitude et de quiétude. ▲ De même, le travail des outils et du bois a aiguisé ta débrouillardise. Comme on manie la gouge qui creuse le violon, tu sais t’adapter aux aléas d’une vie de voleur solitaire, dénicher des solutions dans les circonstances insolubles, déceler les passages invisibles.

Aptitude avancée désirée...
Furtivité ɤ capacité à passer inaperçu aisément, que ce soit pour vider les poches d’un passant, pour chasser le gibier, pour laisser traîner ses oreilles à qui mieux mieux ou à toute autre fin.

Tu es né sur l’île de Kethil, une île battue par les vents. Isolée de tout, abrupte, peu chaleureuse, tu as grandi parmi ses plaines ondulantes et ses falaises monumentales. L’île, c’est la candeur de ton enfance, l’inconscience des grands espaces et des chutes à pic, les plages de galets oblongues, balayées par le remous d’une mer froide et capricieuse. Les rues de Tirith, la capitale de l’archipel, tout comme leur effervescence proverbiale, n’attiraient que peu tes regards ; tu cherchais sans cesse à t’évader pour aller courir les champs de lin et de bruyère, battre les rares forêts de tes pieds nus, marcher en équilibre au bord des chemins de halage, impatient de déceler dans tes membres la force secrète de la magie de l’air. Tu te confondais parfaitement dans cette île si loin de tout et si âpre, dans ses caprices comme dans ses merveilles, quelles que soient les saisons. Il ne te manquait que la magie.

Fils unique, ton père est mort en mer lorsque tu avais quatre ans, et tu n’en gardes qu’un très vague et ténu souvenir. L’amour de ta mère t’a préservé de tout manque, et tu n’éprouves aujourd’hui aucune tristesse en songeant à ses traits à demi effacés et aux rares traces que ton père a pu laissées avant de mourir. Membre émérite du conseil de Skogur depuis huit longues années, Lastha Mohre, ta mère, a toujours su conjuguer sa vie politique éreintante et ton éducation, sa tendresse sans faille te laissant toute latitude pour t’épanouir et t’élever. Durant les dix premières années de ta vie, votre complicité n’a pas cillé, trouvant en elle une figure tutélaire et un modèle à suivre. Lorsque tu avais six ans, Lastha s’est remariée à un homme simple, humble et doux, du nom d’Arran – mais que tout le monde appelait le luthier. Il habitait le faubourg de Tirith, dans l’une des rares bâtisses en bois de la capitale. Artisan aux talents reconnus, quoique sans fortune, Arran vivait entouré de carcasses de violons, d’outils ingénus et de livres aux épaisses reliures de cuir, où vous avez bientôt fini par emménager, ta mère et toi.

Les premiers temps aux côtés de ce grand homme silencieux et monotone te remplirent t’appréhension. Tu fuyais ses regards, récusaient ses ordres et courais trouver du réconfort auprès de Lastha. Mais peu à peu, au fil des années passées dans cette maison confortable, embaumée par les effluves de bois, votre relation s’est apaisée. Ses deux fils aînés étaient à l’université depuis plusieurs années, et se destinaient à un prestigieux avenir de maîtres de l’air. Quant à sa seule fille, Elten, de quatre ans ton aînée, elle quittait tout juste le foyer familial lorsque ta mère et toi avez emménagé, ce qui ne vous a pas empêcher de nouer une complicité singulière, tout en bravades et en courses au bord des falaises. Tes journées dodelinaient entre l’école et son enseignement rigoureux, où tu rêvassais en attendant le point du jour, et les longues promenades qui étaient les tiennes dans les champs aux abords de Tirith. Tu étais un enfant très vif, mais ton amour des grands espaces et de la solitude ne s’accordait pas avec les longues heures d’études, face à face avec ton pupitre. Et puis, les premiers indices de magie se faisaient attendre.

Le matin de ta dixième année, personne ne t’a trouvé. Tu avais couru jusqu’à n’en plus pouvoir, coupant à travers les champs bien ordonnés d’orge et de chèvrefeuille, jusqu’au bord des falaises. Tu écoutais le vent siffler, et ton souffle précipité battant à tes propres tempes, le cœur affolé au-devant du vide. Tu te disais que l’île ne pouvait pas t’avoir abandonné ainsi, t’avoir recraché comme un vulgaire osselet, et tes pensées s’entrechoquaient comme des pierres tandis que le terrible constat prenait forme : tu étais un alter. Toutes tes certitudes venaient d’être ébranlées, comme si les bourrasques qui giflaient ton visage baigné de larmes avaient suffi à couper tous les ponts entre le monde et toi. Tout autour de toi te semblait soudain hostile, et la simple pensée de retourner à Tirith, de croiser d’autres visages, te secouait d’imperceptibles tremblements. Tes dents claquaient, tu n’avais plus aucun contrôle sur ton propre corps, figé sur l’herbe rase, les pieds au bord du vide. Tu étais tétanisé d’amertume. Tu étais un étranger sur ton île elle-même.

Au cours de ces dernières années, ta mère avait malgré elle envisagé cette possibilité, celle que tu serais condamné à être un non-maître. Mais le souvenir de sa lignée si intacte, tout comme celle de son premier mari, et son investissement si entier, si acharné au Conseil de Skogur ne lui permettaient pas de se le figurer réellement. Malgré toute sa tendresse, la déception s’était imprimée sur son visage comme une tare, dans ses rides naissantes, dans le clair de ses yeux, presque ternes, dans ses sourires amoindris. Sa peine redoublait la tienne. L’école avait pris fin, et dans la maison vide, tu t’enfermais des journées durant. Tu avais cessé de chercher des fossiles sur les plages de galets, de courir sur les chemins de terre battue, tu avais perdu cette joie solaire qui te donnait goût aux choses. Tu avais toujours envisagé ton existence autour de la magie, comme Lastha, et son absence la vidait de toute direction, de toute volonté. C’est Arran qui te sauva de ton inconsolable torpeur.

Il te fallait apprendre un métier, et c’est tout naturellement qu’il t’initia aux rudiments de la lutherie. Tes premiers pas étaient ardus, et plus que tout, amers ; apprendre cet artisanat était comme reconnaître ton irréductible impuissance et cesser de te battre. Mais le lent travail du bois, méticuleux, silencieux, te permit de recouvrer un semblant de sérénité. La lutherie devint ta catharsis. Cinq années durant, tu reproduisis les mêmes gestes, les mêmes mesures, et dans cette attention toujours reconduite, le contact délicat avec les violons, tu appris tous les rudiments de ce métier. Tes mouvements s’étaient affinés, ton regard était plus aigu, tu t’étais laissé absorbé par le bois et ses courbes énigmatiques. L’apprentissage était ta seule opportunité de fuir ce réel qui te semblait inévitablement hostile, ce monde auquel tu n’appartenais plus, qui t’avait rejeté.

Mais malgré les progrès et l’aide précieuse que tu apportais à Arran en tant qu’apprenti, tu n’avais de cesse de te sentir parasite, comme si ta condition de non-maître t’avait relégué à un à-côté des choses auquel il t’était impossible de t’extraire. Tu te sentais inutile, de trop, l’île ne te réservait plus rien désormais. C’est ainsi qu’au cours de ta quinzième année, à l’orée du Cycle de la Renaissance, tu as ficelé un petit baluchon, pourvu du nécessaire pour survivre, de deux gouges de ton beau-père et d’un vieil ouvrage sur Kethil, rempli d’estampes – pour ne pas oublier. Dans la cassette de ta mère, tu as subtilisé une bourse de cent pièces d’or jaunes, et au beau milieu de la nuit, tu es parti. Le seul souvenir que tu as laissé de toi dans l’atelier silencieux était à l’intention d’Elten, un petit morceau de parchemin avec quelques lettres griffonnées dans le noir : Je reviendrai. Mais dix années plus tard, tu n’étais toujours pas revenu.

Tu as commencé par rejoindre l’île de Sigur et son fjord, qui était comme une brèche sur le reste du monde. Là, tu as erré quelques temps à Yardor, épaulant les pêcheurs en échange de quelques rations et d’un toit où dormir. Mais dès que l’opportunité s’est présentée, après avoir essuyé beaucoup d’échecs, tu as finalement embarqué sur un vaisseau en tant que mousse, et tu as quitté Skogur. Pour aller où ? Tu l’ignorais, mais l’essentiel était de partir. Le sort t’a conduit à Antak, dans la baie d’Anagd, et ta vie a pris un autre cours. La traversée d’une mer immense, sans bordure, conjuguée aux paysages du royaume du feu, bravaches et luxuriants, ont achevé de bouleverser tous tes repères. À Anagd, malgré la diversité ethnique et l’effervescence d’une ville sans sommeil, ton infériorité de non-maître t’était assenée par tous les regards. Rares étaient les luthiers à s’encombrer d’apprentis – encore davantage lorsque dénués de magie – et à force d’errer sans but dans des rues hostiles, ta bourse s’est amoindrie, tout comme ta volonté. Tu aurais presque pu te laisser mourir, happé par la cité, rayé du monde, mais une faculté singulière s’est révélée à toi : la rapine. Ton long apprentissage du métier de luthier et ta débrouillardise aiguë t’ont redonné un second souffle, et tu as débuté une vie plus ambiguë, celle de voleur.

Tu as survécu ainsi quatre années durant. Hors-la-loi dans un monde ne t’accordant aucun crédit, tu volais pour survivre, et bientôt aussi, par rancune. Ne dérobant jamais les non-maîtres, tu volais des marchands, des soldats, des rentiers, des lettrés, sans jamais te soucier des rumeurs souterraines qui commençaient à circuler sur toi, et ta tête mise à prix. Ta colère était si vive qu’aucun poisson n’était trop gros. Mais cette course insatiable t’a bientôt échappé, et après une violente arrestation et une fuite désespérée, tu as embarqué clandestinement sur le premier navire, et débarqué à Brith, sur le territoire d’Anriel. Depuis, tu te fais encore plus invisible qu’à l’ordinaire.




Quel est l'élément que tu maîtrises ? Comment te sens-tu vis à vis de cet élément ?
Aucun. Tu es enchaîné à ce sang dénué de magie, ces individus qui n’appartiennent à Ealhmund qu’à demi. Les dix premières années de ta vie étaient bercées par la douceur des vents de Kethil, nimbés des discrets pouvoirs des maîtres de l’air. Ta famille était traditionnellement liée à cet élément, comme beaucoup d’autres à Skogur, en particulier sur cette île si singulière et si âpre. Ta mère, membre émérite du Conseil, tes demi-frères et sœurs, quittant Tirith pour rejoindre l’université ; et toi, seul sur cette île que la magie a sculpté, et qui dans toutes ses beautés, dans toutes ses aspérités, semble être devenue hostile à ton corps d’étranger. Ton caractère, ta vision du monde ont été radicalement bouleversés par ce constat amer, au cours de ta dixième année : ton absence de don. La confiance que tu portais en toi s’est comme évanouie, et une inquiétude viscérale, une amertume que rien n’altère, un pessimisme dénué de fondements rationnels t’habitent.

Que penses-tu du traité de paix qui a été signé entre les régions ? Que ressens-tu envers les personnes qui manient un élément différent du tien ?
Tu côtoies peu de maîtres – si ce n’est lorsqu'il s'agit de les voler. Mais dans un monde où ils représentent une écrasante majorité des individus, tu as appris à dissimuler ce sentiment de vulnérabilité, à marcher la tête haute, à mimer une assurance que tu n’as pas. Tu es constamment en train de survivre, de voir la menace chez l’autre avant d’envisager sa bonté. Toutefois, le traité de paix signé entre les différentes régions d’Ealhmund t’apparaît comme l’un des plus grands progrès de ton temps, comme la possibilité pour les peuples de grandir et à l’aigreur de battre en brèche. Mais ce traité de paix implique-t-il aussi les non-maîtres ? Tu te permets d’en douter.

Que penses-tu des égalitaristes et de la cause qu’ils défendent ?
Tu aimerais y croire. Tu aimerais te jeter corps et âme dans cette cause qui résonne dans tout ton être. Mais dans tes entrailles demeure fichée cette conscience pessimiste d’un combat perdu d’avance, et un constat plus amer encore : les maîtres et les non-maîtres ne sont pas égaux, et ne le seront jamais. Parfois, des rumeurs te parviennent, l’illégalité de ton existence te conduit à côtoyer des milieux souterrains, et le nom des égalitaristes extrémistes t’électrise. Tu es sur le point de tout abandonner, le peu qu’il te reste tout du moins, pour les rejoindre ; avant que ton pessimisme et ton manque de confiance ne se manifestent de nouveau, comme un coup dans la mâchoire.



Dernière édition par Choebe Aersent le Sam 6 Oct - 11:58, édité 20 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité


Anonymous



Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptyJeu 27 Sep - 23:12

Bienvenue plus officiellement parmi nous ! Choebe ♦ sans ambiguïtés 417272688 Choebe ♦ sans ambiguïtés 417272688
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité


Anonymous



Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptyJeu 27 Sep - 23:28

BIENVENUE À TOI !!! Choebe ♦ sans ambiguïtés 4140573470
Revenir en haut Aller en bas
Styx Frasier

fondatrice ɤ maître du feu


Styx Frasier

ɤ Messages : 670
ɤ Avatar : Élodie Yung
Choebe ♦ sans ambiguïtés ErhNGgd
ɤ Allégeance réelle : à l'Ancien qui a su donner un offre sur laquelle on ne crache pas


Fiche d'aptitudes
Aptitudes de base:
Aptitudes avancées:

Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptyVen 28 Sep - 0:42

Bienvenue sur le forum, je suis trop contente que tu aies décidé de sauter le pas Choebe ♦ sans ambiguïtés 1125251665
N'hésite pas à me faire signe si je peux t'aider avoir quoi que ce soit Choebe ♦ sans ambiguïtés 1620251141
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité


Anonymous



Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptyVen 28 Sep - 8:09

Bienvenue parmi nous et bonne continuation pour la suite de ta fiche! Choebe ♦ sans ambiguïtés 1442194362
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité


Anonymous



Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptyVen 28 Sep - 14:06

Merci beaucoup pour ce chaleureux accueil Choebe ♦ sans ambiguïtés 1442194362 Je tâche de terminer cette fiche au plus vite Choebe ♦ sans ambiguïtés 1897575348
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité


Anonymous



Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptyVen 28 Sep - 17:39

Bienvenue !
Oh ! Un apprenti luthier ! J'aime.  Choebe ♦ sans ambiguïtés 2300475608 Et j'aime ce vava...  Choebe ♦ sans ambiguïtés 266053201
Bon courage pour ta fiche !
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité


Anonymous



Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptySam 29 Sep - 9:12

Bienvenue Choebe ♦ sans ambiguïtés 2739140560
Contente que tu aies craqué Choebe ♦ sans ambiguïtés 1620251141 n'hésite pas si tu as des questions Choebe ♦ sans ambiguïtés 1442194362
Revenir en haut Aller en bas
Invité

Invité


Anonymous



Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptySam 29 Sep - 16:16

Bienvenue ici ! Choebe ♦ sans ambiguïtés 1620251141
Revenir en haut Aller en bas
L'Ancien

PNJ


L'Ancien

ɤ Messages : 333
ɤ Allégeance réelle : Ealdor


Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptySam 6 Oct - 17:00




Fiche validée !
bienvenue sur sound of drums


Tout d'abord, nous te souhaitons officiellement la bienvenue parmi la grande famille de Sound of Drums ! Maintenant que la validation est passée, tu peux enfin entamer une belle aventure à nos côtés. Nous espérons que tu te plairas dans notre communauté.

J'adore lire les fiches écrites à la deuxième personne et la tienne est vraiment une perle  Choebe ♦ sans ambiguïtés 2300475608 fais juste attention à ne pas mentionner de mots trop modernes comme "université", et les non-maîtres ne se considèrent pas comme "alter" mais bien comme des non-maîtres, ce n'est pas un terme utilisé par les Ealhmundiens  Choebe ♦ sans ambiguïtés 1620251141

D'abord, sache que suite à l'évaluation de ta fiche, nous t'accordons 590 points à répartir sur différents niveaux d'aptitudes. Nous t'invitons à remplir ta fiche d'aptitudes et à la poster dans cette section afin qu'un membre du staff complète ton profil. Tu pourras bien sûr améliorer tes aptitudes grâce à ton activité sur le forum en faisant des achats dans la boutique.

Ensuite, nous te demandons de recenser ton avatar, ton nom, ton métier et tes pouvoirs dans les différents bottins pour éviter qu'on perde la tête.

Pour bien faire ton entrée en jeu, n'oublie pas de poster une fiche de liens. Au besoin, tu peux mettre un scénario ou des pré-liens en jeu pour combler les pièces manquantes de ton histoire.

Nous te proposons plusieurs animations pour gagner des pièces d'or. N'hésites pas à pimenter l'action en lançant les dés ou en surmontant des défis. Explore le système de jeu au besoin et n'hésite pas à te référer à un membre du staff si tu as des questions.

Et surtout, éclate-toi au fil de tes péripéties Choebe ♦ sans ambiguïtés 1620251141

Revenir en haut Aller en bas
Lachlan Thralmur

fondatrice ɤ non-maître


Lachlan Thralmur

ɤ Messages : 584
ɤ Avatar : Kristofer Hivju
Choebe ♦ sans ambiguïtés Tumblr_pmo85pgoyu1ut8szno8_250
ɤ Allégeance réelle : Aucune


Fiche d'aptitudes
Aptitudes de base:
Aptitudes avancées:

Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés EmptySam 6 Oct - 17:22

Suite à la première mise à jour, étant donné que ton personnage évolue dans une région où moins de 5 membres validés vivent présentement, le staff t'accorde 100 points qui ont été ajoutés à ton profil   Choebe ♦ sans ambiguïtés 1442194362
Néanmoins, ces points ne sont pas à ajouter dans la fiche d'aptitudes.

Félicitations pour ta validation Choebe ♦ sans ambiguïtés 417272688
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé






Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty
MessageSujet: Re: Choebe ♦ sans ambiguïtés   Choebe ♦ sans ambiguïtés Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Choebe ♦ sans ambiguïtés
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Choebe ▲ sans ambiguïtés
» ɤ Fiche d'aptitudes de Choebe

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Sound of Drums :: Hors jeu :: Sujets version 1 :: Présentations-
Sauter vers: